Si l’on vous demande votre avis, il y a deux possibilités :
- soit vous êtes un lèche-cul ou un trouillard et vous dites ce que l’autre veut entendre,
- soit vous dites ce que vous en pensez, même si cela risque de ne pas plaire.
Suivant l’épaisseur des gants que vous mettrez, on pourra juger de votre niveau d’hypocrisie ou d’empathie, suivant la morale de chacun.
Mais cela ne changera rien à l’affaire en cause : si ce que vous avez fait est mal fait, c’est mal fait ! Et si cette malfaçon est à risque mortel, vous avez de fortes « chances » d’avoir des difficultés à recommencer votre erreur ultérieurement.
Pour « apprendre de ses erreurs » comme vous le dites, il faut d’abord accepter de les reconnaître et ne pas s’en offusquer si l’on vous met le nez dedans !
Pour certains la vérité ne serait pas toujours bonne à entendre, une maxime si bien mise en exergue par les vieux curés pédophiles.